Une journée avec Diego Leyder, guitariste
Comment nous avons connu Diego Leyder
Avant de l’interviewer dans “De retour à Bruxelles”, Diego est un ami. C’est son amour de sa ville qui m’a donné envie de m’y installer il y a déjà 15 ans. Et c’est lui qui m’a aidé à y trouver mon premier appartement.
Si nous avons eu envie de lui donner la parole, c’est que c’est un garçon génial. Il a toujours l’air serein et souriant. Il est également musicien, et depuis plusieurs années, il en vit. Sans faire de concessions, il mène sa barque, entre différents projets – du groupe BRNS à Dièze ou Fondry.
On aime sa rigueur, son envie de contribuer à quelque chose dont il est fier. Créer, faire de beaux morceaux. Avoir conscience des pressions du monde de la musique, sans pour autant dévier de son projet artistique.
Si c’est lui qui le dit !
«On a choisi d’être dans un groupe où on compose tous. Ca peut nous emmener vers des territoires et des idées que l’on n’aurait pas eues tout seul.»
«Quand je suis tout seul sur scène devant mes pédales, je suis un peu plus stressé.
C’est plus difficile de jouer devant 15 personnes que 400.»
«Si tu es dans une grosse maison de disques, tu as moins de contrôle. Pour BRNS, ce n’est pas la maison de disques qui avance l’argent, c’est nous. Donc c’est nous qui décidons. Après, eux, ils peuvent décider de ne pas sortir l’album s’ils n’aiment pas.»
Pourquoi vous allez aimer le rencontrer
Parce qu’on a tous des images fantasmées de la vie d’artiste. Les clichés de l’artiste torturé, l’artiste incontrôlable. Hé bien Diego, c’est l’artiste bien dans ses baskets. Celui qui prouve qu’on peut y arriver en restant toujours aussi sympa, en gardant ses passions, et son envie de faire une musique intelligente, belle et différente.
Vous verrez, il vous donnera envie de continuer ou de reprendre ce projet artistique que vous avez toujours rêvé de faire.
Envie de lire son entretien dans "De retour à Bruxelles"?
Découvrez la (vraie) vie d’un musicien indépendant…
… et les surprises de la création en groupe
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